Vous cherchez un outil précis, puissant et sans fil pour découper facilement vos impressions 3D ou d'autres matériaux ? J’ai testé pour vous le cutter à ultrason Hanboost Ultrasonic C1. Voici mon retour d’expérience complet, avec déballage, tests de découpe et avis personnel.
Pourquoi s'intéresser à un cutter à ultrason ?
Si vous êtes comme moi, passionné de modélisme, d’impression 3D ou de DIY, vous savez que la découpe est une étape souvent pénible. Les cutters traditionnels ne suffisent pas toujours, surtout quand il s’agit de retravailler des impressions en résine ou en filament.
J’utilisais déjà un cutter à ultrason d’une autre marque, acheté plus de 250 €, mais il était filaire, encombrant et peu pratique à déplacer. Alors quand j’ai vu la campagne Kickstarter du Hanboost Ultrasonic C1, un modèle portable, j’ai tout de suite été intrigué. J’ai contacté la marque et ils m’ont gentiment envoyé un exemplaire pour test.
Présentation du Hanboost Ultrasonic C1
Caractéristiques techniques :
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Vibration ultrasonique à 40 kHz
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Trois niveaux de puissance
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Lampe LED intégrée
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Corps tout en métal
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Poignée ergonomique et antidérapante
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Recharge USB-C
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Fonctionnement sans fil
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Prix : environ 160 € (souvent en rupture de stock, signe d’un vrai engouement)
Le principe de fonctionnement repose sur des vibrations ultrasoniques invisibles à l'œil nu mais très efficaces pour trancher divers matériaux sans effort.
Premières impressions : solide et bien conçu
Le packaging est sobre, mais efficace. L’outil est livré avec un boîtier rigide, des lames de rechange, un capuchon de protection, un câble de recharge et une clé Allen pour changer la lame.
À la prise en main, le cutter paraît robuste (216 g), ce qui est rassurant. Il est plus lourd que des gadgets chinois bon marché, mais c’est le prix à payer pour un outil de qualité.
Tests en conditions réelles : que peut-il découper ?
J’ai testé l’Ultrasonic C1 sur une variété de matériaux, en mode 1, 2 ou 3 selon le besoin :
✅ Ce qu’il coupe très bien :
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Résine : parfait pour nettoyer ou réparer des impressions 3D ratées
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Filament PLA : idéal pour retirer les supports
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Polystyrène et frigolite : coupe nette comme dans du beurre
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Carton, tissu, microfibre, similicuir : aucune difficulté
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ABS (3 mm) et acrylique : bonne performance, attention à la fonte si on reste trop longtemps
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Liège et papier : propre et précis
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Câbles USB : coupe nette (testé sur un câble hors d’usage)
⚠️ Ce qu’il coupe mais avec limites :
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Aluminium fin : il peut y arriver avec plusieurs passages, mais ce n’est pas l’usage prévu
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PTFE : coupe possible mais les bords sont écrasés, mieux vaut un outil spécifique
❌ Ce qu’il ne coupe pas :
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Verre : aucun effet, pas prévu pour
Avantages du Hanboost Ultrasonic C1
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Portabilité : parfait pour des petites retouches rapides ou en déplacement
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Polyvalence : découpe une large gamme de matériaux
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Autonomie correcte : environ 6 % de batterie utilisée après plusieurs découpes
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Recharge rapide : 20 à 25 % de charge en 15 minutes
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Ergonomie : poignée confortable, LED utile pour travailler en détail
Inconvénients à connaître
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Risque de chauffe : après 20-25 minutes, il peut se mettre en sécurité thermique
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Puissance décroissante quand la batterie baisse
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Pas de mode d'emploi fourni
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Pas idéal pour de longues sessions de découpe intensives
Verdict : un très bon complément à un outil filaire
Le Hanboost Ultrasonic C1 n’est pas parfait, mais c’est un excellent outil d’appoint. Il ne remplacera pas un cutter à ultrason filaire pour les très longues sessions, mais pour des découpes rapides, précises et portables, il est redoutablement efficace.
À 160 €, c’est un investissement, mais bien moins cher que certains modèles concurrents. Pour mon usage (retouche post-impression, modélisme, petit bricolage), il remplit parfaitement sa mission.
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